mercredi 3 décembre 2008

Les bas pas anglais

Ceci est un rêve effectué le 4 juin. Il était tellement bizarre que je l'ai noté dès que je me suis levé pour pouvoir le décrire à ma douce moitié qui était parti en voyage en Europe avec sa famille. C'est également un peu le rêve qui m'a donné l'idée de garder un recueil de rêves afin de me rappeler ces rêves bizarres qu'on fait desfois.

Je me promène près de mon appartment et je cherche une place de stationnement (à Montréal, donc il s'agit d'un parking en parallèle). Sur la rue où j'essaie de me stationner (du côté droit d'un one-way), il n'y a qu'un seul autre char. Il y a donc énormément de place pour que je me stationne sans problème. Cependant, ça me prends beaucoup d'essais avant d'être positionné comme il faut. C'est là que je me rends compte que je suis placé devant une borne fontaine. Heureusement, dans l'espace où je suis, il y a de la place pour deux voitures (entre deux entrées), j'effectue donc le déplacement pour me stationner pour de bon.

C'est là que je vois ma blonde, Julie, qui revenait tout juste de voyage (dans le rêve), en fait elle arrivait de l'aéroport. Nous allions à un souper avec du monde de son laboratoire. Elle avait pratiquement tout organisé le souper qui coûtait 25$ par personne et on avait déjà payé.

À ce moment, mes parents sont arrivés et m'ont demandé si je voulais aller à la cabane à sucre avec eux. Je demande donc à Julie si elle veut bien aller y faire un petit tour parce que toute ma famille était là (plus de 100 personnes dans mon rêve ce qui est beaucoup plus que la réalité).

Elle avait vraiment plus le goût d'aller à la cabane à sucre puisque toute ma famille était là (qu'elle n'avait jamais rencontrée à ce moment sauf la famille rapprochée) et de laisser tomber le souper avec son laboratoire.

Cependant, je lui ai rappelé qu'on avait déjà payé pour le souper, ce à quoi elle a répondu que si la cabane coûtait comme 5$ ça valait la peine.

Anyway, il fallait que je mette des bas (oui, ça coupe sec dans mon rêve aussi). Nous étions toujours à côté de mon char et heureusement j'avais des vieux bas dans mon sac à dos dans ma voiture. En les mettant (assis à l'arrière à gauche, la porte ouverte), ma mère me demande si je préfèrais des bas "pas anglais" (wtf?). En enfilant mes vieux bas, je me rends compte qu'un des bas a des gros trous, mais peu importe, c'est tout ce que j'ai.

On continue donc à discuter pendant que mes parents se dirigent vers la cabane (à distance de marche de Montréal apparement) et Julie me demande de baisser la fenêtre du char pour qu'on puisse se parler directement (elle était à côté de la porte du conducteur pendant que j'enfilais mes bas).

Fin de l'histoire, c'est assez tordu, mais les bas "pas anglais" me font vraiment rire.

lundi 1 décembre 2008

Les nouveaux voisins

Désolé pour le manque de rêves, ça fait très longtemps que je me suis souvenu d'un rêve.

Dans ce rêve, j'habitais dans un bloc fait un peu en forme de "U", de mon appartement situé sur une façade intérieure d'une des pattes du "U", je pouvais voir l'appartement situé sur l'autre façade intérieur du "U". Ce côté de l'appartement était complètement vitré avec des vitres pleines grandeurs sur la longueur totale de l'appartement (très joli). Dans l'appartement en face, je voyais donc 2 nouvelles locataires qui étaient en train de meubler et d'arranger leur nouveau logement.

Un peu plus tard, j'ai reçu la visite d'un couple qui venait d'emménager. Le gars était roux un peu crotté (barbe mal coupée, cheveux longs et sales) et sa femme était asiatique. Les salutations d'usage se font, puis le gars me demande si j'ai une petite carte pour eux. Je ne comprends pas vraiment la requête, je lui demande donc ce qu'il veut dire par une carte. Il m'explique donc que sa femme est vient tout juste d'immigrée, qu'elle ne parle pas un mot d'anglais ni de français et n'est pas tout à fait habituée aux coutumes du Québec. La carte qu'il veut c'est en fait une petite carte avec un code d'éthique que je demanderais aux autres locataires de respecter par exemple.

N'ayant pas de telle carte, je lui demande donc si lui même est québécois et que s'il respecte les normes habituelles des locataires, ça devrait faire mon affaire.

Fin.